C’est le grand nettoyage de printemps sur le Blooghe. Si vous me lisez souvent, vous avez vu que la page d’accueil a changé, qu’il y en avait une autre qui avait vu le jour et tout cela précède une phase de publication de billets en retard voire très en retard mais que j’avais envie, et me devais de partager avec vous.
Un retour de C1 qui rigole plus
C’était il y a deux semaines jour pour jour et j’avais envie de vous écrire un petit billet, à froid, le second sur la ligue des champions 2013, après celui d’un autre retour de huitième de finale de la ligue des champions, publié sur mon site de communiqué de presse, tweesteur et dont le résultat comme je vous en avais fait part, m’avait fait beaucoup moins plaisir celui là. Non pas parce qu’étant un fervent supporter des blaugrana il qualifiait le Real Madrid, mais parce qu’il éliminait l’autre club que je supporte à l’étranger, Manchester United.
Le réveil du Barça
Ces derniers éliminés donc, il fallait bien un retournement de situation du côté de Barcelone pour que cette fin de ligue des champions en vaille la peine à mes yeux et le miracle se produisit. Les cardinaux réunis à Rome auront donc su œuvrer efficacement contrairement à ce que tout le monde pensa avec la fumée noire. Celle-ci était logique, avant d’élire leur plus haut représentant, les cardinaux devaient d’abord diriger leurs prières vers le Barça. Étonnant quand on connaît la proportion d’italiens dans l’assemblée, mais les dieux du Football ont tranché et avant l’élection argentine du Pape Francesco, c’est un autre argentin qui était élu, mais homme du match lui, Lionel Messi le bien nommé pour ce qui fut un grand moment de football : FC Barcelone 4 – Milan AC 0.
Un match à sens unique
Alors c’est vrai que je ne dis ça qu’aux yeux de quelques ralentis, mais ils furent révélateurs de la physionomie d’une partie où le Milan AC, en frappant le montant, avait laissé passé sa chance. Peut-être une justice après le premier but entaché d’une main au match aller. Encore que la chance fait partie du jeu ce qui ne devrait logiquement pas être le cas des erreurs d’arbitrage. Exceptée cette frappe, c’est Barcelone qui éclaboussa ce match de toute sa classe, comme seule cette équipe sait le faire. Ce qui m’a aussi frappé dans cette qualification c’est que si certains avaient déjà condamné le Barça après cette défaite 2 à 0 à San Siro à l’aller, d’autres avaient signalé que l’exploit était possible, et la plupart des connaisseurs le souhaitaient même. C’est aussi ça le Barça.